Funky16Corners Radio v.7 - Funky Shingaling (Compiled by Larry Grogan)
Fantastic Soul Gems. Another Funky Great Mix. As usual. Big Up Larry.
The Funky16 Corners Saga continues...
Push - Can't Fight It (Push Records/Soulciety Records, 1996)
On reste sur la période British Acid Jazz avec Push, présent sur l'album Radified, "Can't Fight It" est distribué par Soulciety en Allemagne.
Deep Funk Revival & New Soul Funk.
Formed in late 1987, they helped pioneer London's “rare groove” scene along with bands such as The Brand New Heavies, Young Disciples and Soul II Soul. Their first recording was “Traffic” that appeared on the compilation “Acid Jazz And Other Illicit Grooves” in 1988. They toured Japan in 1989 under the Acid Jazz banner, featuring Seal as lead vocalist. The rhythm section of Crispin Taylor, Ernie McKone and Mark Vandergucht also formed part of the Galliano group, touring the world in 1990. Discog
Rad. - Radified + Gotta Be (Soulciety, 1992-1993)
Rose Ann Dimalanta, a.k.a. rad, is a singer-songwriter and keyboardist from Oakland. She is influenced by funk, Brazilian, Afro-Cuban and R&B styles... (wikipedia)
Voici ces 2 premiers albums sur le label allemand : Soulciety, en plein période Acid Jazz.
Profitez-en, une rareté sur le net.
Jazz Dance Classics Series (Luv N' Haight, 1993-1994)
Anibal Velasquez y Su Conjunto - Mambo Loco (Analog Africa, 2010)
The legendary accordionist from Barranquilla in Colombia.
Musica Colombiana para el Mundo. Bailar Caballeros.
Anibal Velasquez y Su Conjunto - Mambo Loco (CD/2xLP) Analog Africa n°7, 2010-04-12 Having built its reputation on releasing long-forgotten gems from 70's Africa, especially Benin (including two releases by Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou), Analog Africa is moving its focus to another continent altogether.
http://www.parisdjs.com
Linval Thompson - Ride On Dreadlocks - 1975-77 (Blood & Fire, 2000)
Dans la série des Label Anglais qui déchire : Blood & Fire.
Discomix & Extended Version Only.
Tribute & Celebrate Linval Thompson. Remember Uzul.
Fire Ina Babylon!
Discographie Blood & Fire Records La perfection en matière de Dub et Roots Reggae Histoire du label Blood and Fire Records fut fondé en Avril 1993, comme une entreprise conjointe entre So What Arts Ltd (le Management de Simply Red), qui amenait son expérience du marché de la musique, et Steve Barrow, comme directeur artistique, un des meilleurs expert de la musique jamaïquaine, qui a compilé plus que 70 disques pour Trojan et Island, inclue la fantastique compilation 4-CD de "Tougher than tought, the story of jamaican music"".
http://www.djouls.com
BLESS
C.S. Crew – Funky Pack (EMI, 1976)
Ghana Soundz - Afro-Beat, Funk and Fusion in 70's Ghana Vol. 1 & 2 (Soundway, 2002 & 2004)
Soundway encore un Label Anglais qui déchire. Thanks To Miles Cleret.
Afrobeat Forever!
BLESS
Funky16Corners Radio v.1 - Philly Funk 45 Mix + v.58 - Right On! Philly Funk 45 Instrumentals (Compiled By Larry Grogan)
So Pure, Raw, Deep... Philly Funk 45 Mix. In Your Ears!
The Funky16 Corners Saga continues...
Blue Note Classic Records : Funky Jazz Series Part.2
Funky Blue Note Tribute. Be My Guest!
Blue Note Classic Records : Funky Jazz Series Part. 2
Lou Donaldson - Say It Loud! - 1969
Brother Jack McDuff - Moon Rappin’- 1970
Lonnie Smith - Move Your Hand - 1970
Reuben Wilson — Blue Mode - 1970
Grant Green - Carryin' On - 1970
BLUE, BREAK, BEATS
Funky16Corners Radio v.42 - Soul Organs Vol 3 (Compiled by Larry Grogan)
Le dernier volume de la série Soul Organs. Strictly 7inch Vinyl Sound.
Keeping The Soul Alive in the 21st Century. Big Up Larry.
Soul Jazz Records Presents Soul Of A Nation Vol. 1 & 2 (Soul Jazz Records, 2017-2018)
A Place Called Jamaica Part. 2 (Bunny "Striker" Lee's Productions From 60's & 70's) (Makasound, 2004)
One Of The Best Producer with the Greatest Reggae Singers. Pure Roots Reggae. Love It!
A Place Called Jamaïca Part.2 nous offre une sélection très pointue de 17 titres reggae roots enregistrés entre 1967 et 1979 aux studios WIRL, Dynamic, Treasure Isle, Joe Gibbs et Channel One. Tout commence par l’hallucinant Great Musical Battle sur le riddim Take Five, Derrick Morgan y commente un match de boxe virtuel entre Clement ‘’Coxsone’’ Dodd et Bunny Lee (déclaré vainqueur par KO). S’ensuivent des reprises surprenantes tel que le classique des Beatles I Wanna Hold Your Hand interprété par Glen Adams, mais aussi le langoureux Gypsy Woman de Curtis Mayfield repris par Slim Smith and the Uniques. Lloyd Clarke, quant à lui, offre une interprétation personnelle et réussie du Summertime de Gerschwin. A Place Called Jamaïca Part.2 propose également d’autres pépites, telles que le classique Wreck Up My Life de Leroy Smart, la version de No Woman No Cry de Taper Zukie, ou encore The Village, un des seuls morceaux que Gregory Isaacs ait enregistré pour Bunny Lee. Sans oublier quelques belles productions réalisées pour d’autres artistes populaires de l’époque : Barry Brown, Max Romeo, Cornell Campbell, Horace Andy, Dillinger et Big Joe! Ainsi, cette compilation est une excellente démonstration des nombreux talents de producteur de Bunny ‘’Striker’’ Lee, qui ne l’oublions pas est également à l’origine du morceau Better must come de Delroy Wilson, devenu l’hymne de la campagne électorale pour le PNP (People’s National Party) de Michaël Manley en 1972. Annietha Gastard (Campus FM, 2006)
Ticklah – Ticklah Vs. Axelrod (Easy Star Records, 2007)
KILLA SOUND! By A Genius. BLESS.
Victor Axelrod aka Ticklah is a Brooklyn native and independent music producer and artist, who has been a continual and integral part of the NYC music scene for over a decade.
As an artist he is a founding member of Sharon Jones & the Dap Kings, Antibalas Afro Beat Orechestra, and the Easy Star All Stars.
As a producer he contributed to one of the most successful reggae albums of the 21st century, Dub Side of the Moon (co-production, mixing)...
Bonga - Angola 72 & Angola 74 (Morabeza Records, 1972-1974)
Le maître du Semba
Une superbe voix grave et éraillée, des harmonies délicates, de belles mélodies tristes et dansantes : voilà qui caractérisait le Bonga de la grande époque. Ce musicien majeur de la musique africaine a, depuis, quelque peu sacrifié sa finesse au "profit" de l'efficacité et désormais il n'aime rien tant que de faire danser les salles entières, privilégiant les rythmes rapides et les arrangements sur lesquels se déhanchent les spectatrices. Pourtant, son nom est plutôt associé à de superbes ballades, qu'il s'agisse de "Sodade" (morceau traditionnel que Bonga avait enregistré dans les années 70, bien avant que Cesaria Evora en fasse un sublime hit planétaire en 1992) ou de "Mona ki n'gui xiça" que le cinéaste français Cédric Klapish a utilisé dans la bande-son du film "Chacun cherche son chat".
Lorsqu'il est né en 1943 à Kipiri, Bonga s'appelait José Adelino Barçelo de Carvalho et l'Angola était sous domination portugaise. Il changera son patronyme trop colonial en un nom plus africain, celui de Bonga Kuenda. Car très tôt le jeune Bonga/José qui vit dans la banlieue pauvre de Luanda (capitale dont le centre est une forteresse bâtie en 1576 par les Portugais) est sensible aux mouvements indépendantistes qui secouent l'Afrique des années 50. Comment pourrait-il en être autrement dans ce pays dont la capitale est dominée par un bâtiment symbole de l'oppression coloniale, où les injustices sont flagrantes et où le dictateur portugais Salazar mène une répression féroce dans les campagnes pour écraser les révoltes paysannes ? Dans les faubourgs de Luanda, il se crée tout un mouvement (animé par des poètes, des romanciers, des peintres et des musiciens) pour retrouver l'Histoire et la culture de leur pays. Bonga rejoint le groupe de son père (accordéoniste) qui interprète de la Rebita, la musique des pêcheurs de Ilha de Cabo. Il y joue de la dikanzas, un instrument particulièrement subversif, non pas parce qu'il s'agit d'un bout de bambou strié sur lequel on frappe, mais parce que cet instrument à percussion marque le retour aux sources.
La musique a joué un rôle essentiel pour rendre au peuple angolais sa dignité bafouée par le colonisateur. C'est ainsi que, dès les années 40, les "Ngola ritmo" -un groupe de neuf musiciens- sillonnent les bidonvilles en rejouant les rythmes traditionnels et en les agrémentant graduellement d'éléments plus modernes (guitares acoustiques, bribes de Fado portugais ou de musique brésilienne). Le *Semba * (style musical de la région de Luanda) prend alors un essor nouveau et ce rythme clandestin se répand comme une traînée de poudre. Bonga crée son propre groupe, nommé "Kissueia" (nom qui signifie "la misère des quartiers pauvres" en Kimbundu), dans lequel sont employés des instruments traditionnels, donc honnis par le pouvoir en place. A la dikanzas, se joignent un gros tambour n'gnoma, un arc musical ungu et une puita (tige insérée dans une peau). De surcroît, Bonga n'hésite pas à jouer des danses rituelles kalundu ou du kilombe-lombe. En 1966, pour échapper aux menaces, il est obligé de s'exiler. Il a alors 23 ans et s'installe à Lisbonne. Sous couvert d'une double carrière d'athlète et de footballeur, il poursuit son activisme politique et devient une figure de premier plan du Mouvement Populaire de Libération de l'Angola.
Contraint de fuir à Rotterdam, il recommence là-bas ses activités musicales, en entrant notamment en contact avec ses confrères capverdiens. Il publie alors son premier album en Europe, "Angola 72", composé de 10 morceaux magnifiques et poignants à base de Semba (tantôt lente, tantôt rapide) et de percussions. Après un détour par la Belgique, Bonga s'installe à Paris où il rencontre de nombreux musiciens africains. Mais il se refuse farouchement à occidentaliser son style pour être plus vendeur. Seules concessions, il intègre un brin de Morna capverdienne et un zeste de Soukouss congolais à ses influences. Il en sortira un autre superbe disque, "Angola 74". Depuis, Bonga a composé plus de 170 chansons, s'apprête à publier son autobiographie, a été nommé pour le prix Unesco 1996, a reçu des disques d'or et de platine… mais les honneurs ne l'ont pas endormi car il demeure politiquement engagé en militant pour l'indépendance du Timor oriental.
Magali Bergès(mondomix)
Bless.
Funky16Corners Radio v12 & v.16 - Hammond Funk Vol.1 & 2 (Compiled by Larry Grogan)
On continue avec les compilations de Funky16Corners.
Blue Note, Prestige, Cadet, Solid State, Atlantic, so many labels that defined the Funky Jazz Sound. Hammond B-3 Mighty Power. Big Up!
The Rare Tunes Collection : From Latin... To Jazz Dance Vol.1-5 (Rare Groove Recordings, 2003)
When Jazz Goes Latin!
Nice Selection. Played by The Greatest Jazz Musicians. So Groovy.
Blue Note Classic Records : Funky Jazz Series Part.1
The Best & Most Exciting Jazz Label : The Finest in Jazz since 1939. Alfred Lion & Francis Wolf.
The Greatest Sound Engineer / Rudy Van Gelder
The Most Beautiful Jazz Covers / Francis Wolf & Reid Miles
Totally Addictive!
Voici une série (en 4 parties) d’album originaux sur la période la plus Funky du Label :
Lou Donaldson - Alligator Bogaloo 1967
Lou Donaldson - Mr Shing A Ling - 1967
John Patton - Accent On The Blues 1969
Lou Donaldson - Hot Dog - 1969
Reuben Wilson Love Bug - 1969
Blue, Break, Beats
Tropical Funk Experience 2 Lp's - Hugo Mendez + Quantic (Nascente, 2009 & 2010)
Caribbean Funk, Soul, Reggae, Calypso, Afro Grooves... Big Up To Dave Holland & Hugo Mendez.
Thank You to visitors from All Over The World : Japan, Sweden, Canada, Spain, Colombia, Australia, Thailand, Romania, Germany, Swiss, United States... It's a pleasure to share!
Keep The FunkyGrooves Alive. Bless.